Dans le Karijini, par moment des mouches, que Zoé appelle les « nouches » (pas moyen de le lui faire dire correctement), attaquent avec plus de vigueur que n’importe quel serpent ! pas très nombreuses mais particulièrement collantes, elles viennent se poser et restent malgré nos mouvements sur les lèvres, les cils, les oreilles ! Nous avons alors dégainé les filets anti-mouches que j’avais fabriqués avant de partir dans de la moustiquaire de fenêtre, très pratiques, et indispensables dans certaines zones du bush australien ! (et à 10 dollars le filet ici, j’ai bien fait !) Mais l’inconvénient ne dure jamais longtemps, pour on ne sait quelle mystérieuse raison, elles disparaissent aussi vite qu’elles étaient apparues…
